Enregistré en 1957. Orchestre de André Popp.
J'en appelle aux maisons écrasées de lumière
J'en appelle aux amours que chantent les rivières
A l'éclatement bleu des matins de printemps
A la force jolie des filles qui ont vingt ans
A la fraîcheur certaine d'un vieux puits de désert
A l'étoile qu'attend le vieil homme qui se perd
Pour que monte de nous et plus fort qu'un désir
Le désir incroyable de se vouloir construire
En se désirant faible et plutôt qu'orgueilleux
En se désirant lâche plutôt que monstrueux
J'en appelle à ton rire que tu croques au soleil
J'en appelle à ton cri à nul autre pareil
Au silence joyeux qui parle doucement
A ces mots que l'on dit rien qu'en se regardant
A la pesante main de notre amour sincère
A nos vingt ans trouvés à tout ce qu'ils espèrent
Pour que monte de nous et plus fort qu'un désir
Le désir incroyable de se vouloir construire
En préférant plutôt que la gloire inutile
Et le bonheur profond et puis la joie tranquille
J'en appelle aux maisons écrasées de lumière
J'en appelle à ton cri à nul autre pareil
I call out to houses squashed with light
I call out to loves that rivers sing
To the breaking blue morning sky of spring
To the pretty strength of 20 year old girls
To the certain freshness of an old desert well
To the star that awaits an old man who is lost
For what rises from us stronger than desire
The incredible urge to shape ourselves
Seeking weakness rather than pride
Seeking to be a coward as opposed to a monster
I call out to your laugh that you crunch in the sun
I call out to your cry which is like no other
To the joyful silence which softly speaks
To these words we say just by looking at each other
To the heavy hand of our sincere love
To our 20 years and everything they hope for
For what rises from us stronger than desire
The incredible urge to shape ourselves
Preferring rather than useless glory
Deep happiness and quiet joy
I call out to houses squashed with light
I call out to your cry which is like no other
J'en appelle aux maisons écrasées de lumière
J'en appelle aux amours que chantent les rivières
A l'éclatement bleu des matins de printemps
A la force jolie des filles qui ont vingt ans
A la fraîcheur certaine d'un vieux puits de désert
A l'étoile qu'attend le vieil homme qui se perd
Pour que monte de nous et plus fort qu'un désir
Le désir incroyable de se vouloir construire
En se désirant faible et plutôt qu'orgueilleux
En se désirant lâche plutôt que monstrueux
J'en appelle à ton rire que tu croques au soleil
J'en appelle à ton cri à nul autre pareil
Au silence joyeux qui parle doucement
A ces mots que l'on dit rien qu'en se regardant
A la pesante main de notre amour sincère
A nos vingt ans trouvés à tout ce qu'ils espèrent
Pour que monte de nous et plus fort qu'un désir
Le désir incroyable de se vouloir construire
En préférant plutôt que la gloire inutile
Et le bonheur profond et puis la joie tranquille
J'en appelle aux maisons écrasées de lumière
J'en appelle à ton cri à nul autre pareil
I call out to houses squashed with light
I call out to loves that rivers sing
To the breaking blue morning sky of spring
To the pretty strength of 20 year old girls
To the certain freshness of an old desert well
To the star that awaits an old man who is lost
For what rises from us stronger than desire
The incredible urge to shape ourselves
Seeking weakness rather than pride
Seeking to be a coward as opposed to a monster
I call out to your laugh that you crunch in the sun
I call out to your cry which is like no other
To the joyful silence which softly speaks
To these words we say just by looking at each other
To the heavy hand of our sincere love
To our 20 years and everything they hope for
For what rises from us stronger than desire
The incredible urge to shape ourselves
Preferring rather than useless glory
Deep happiness and quiet joy
I call out to houses squashed with light
I call out to your cry which is like no other
- Category
- Jacques Brel
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