♪ Souffrir par toi n'est pas souffrir ♪
Auteur/Compositeur - Etienne Roda-Gil/Julien Clerc
Album " No 7 " le septième album studio de Julien Clerc sorti en 1975
Si un jour tu veux revenir
Sans mots, sans pleurs, sans même sourire
Négligemment et sans te retenir
Sans farder du passé tout l´avenir
Le soir quand je te vois sourire
Sur cette photo qui ne veut rien dire
Sous ta vieille lampe qui tremble et chavire
Tu viens grimacer dans mes souvenirs
Maintenant, comme avant,
Doucement, sans pâlir, sans mentir, sans souffrir
Aujourd´hui, je te dis :
Souffrir par toi n´est pas souffrir,
C´est comme mourir ou bien faire rire
C´est s´éloigner du monde des vivants
Dans la forêt, voir l´arbre mort seulement
Comme un jour tu viendras sûrement
Dans ce salon qui perd son temps,
Ne parlons plus jamais de nos déserts
Et si tu restes je mets le couvert
Maintenant, comme avant,
Doucement, sans pâlir, sans mentir, sans souffrir
Aujourd´hui, je te dis :
Tous les voyages ne veulent rien dire
Je sais des choses qui te feraient rire
Moi qui entassais des souvenirs par paresse
Ce sont tes vieux chandails que je caresse
Maintenant, comme avant, doucement
Restons-en au présent pour la vie,
Aujourd´hui, reste ici
Auteur/Compositeur - Etienne Roda-Gil/Julien Clerc
Album " No 7 " le septième album studio de Julien Clerc sorti en 1975
Si un jour tu veux revenir
Sans mots, sans pleurs, sans même sourire
Négligemment et sans te retenir
Sans farder du passé tout l´avenir
Le soir quand je te vois sourire
Sur cette photo qui ne veut rien dire
Sous ta vieille lampe qui tremble et chavire
Tu viens grimacer dans mes souvenirs
Maintenant, comme avant,
Doucement, sans pâlir, sans mentir, sans souffrir
Aujourd´hui, je te dis :
Souffrir par toi n´est pas souffrir,
C´est comme mourir ou bien faire rire
C´est s´éloigner du monde des vivants
Dans la forêt, voir l´arbre mort seulement
Comme un jour tu viendras sûrement
Dans ce salon qui perd son temps,
Ne parlons plus jamais de nos déserts
Et si tu restes je mets le couvert
Maintenant, comme avant,
Doucement, sans pâlir, sans mentir, sans souffrir
Aujourd´hui, je te dis :
Tous les voyages ne veulent rien dire
Je sais des choses qui te feraient rire
Moi qui entassais des souvenirs par paresse
Ce sont tes vieux chandails que je caresse
Maintenant, comme avant, doucement
Restons-en au présent pour la vie,
Aujourd´hui, reste ici
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- Julien Clerc
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